L'art zen de l'investissement autonome
Inspirer. Expirer. Vider son esprit de toute pensée. C’est plus facile à faire lorsqu’on pratique le yoga au lever du soleil qu’en lisant sur l’actualité boursière. Quand on gère son argent soi-même, c’est pourtant une bonne idée de mettre ses émotions de côté. Voici pourquoi, et comment y parvenir.
Le courtage en ligne a la cote
Selon l’Autorité des marchés financiers, un épargnant sur sept est considéré comme investisseur autonome1. L’évolution des technologies facilite les transactions sans intermédiaire. Pas besoin de jouer du coude sur un parquet bondé à Wall Street pour négocier; quelques clics et c’est réglé.
À donner la priorité avant l’investissement
Avant d’épargner pour des projets à moyen et à long terme, il existe des façons simples et faciles d’améliorer sa situation financière :
- En priorité, on rembourse les dettes à taux élevé, comme un solde impayé sur une carte de crédit. L’argent économisé chaque mois en intérêts peut alors être investi.
- On se crée un fonds d’urgence qui comprend l’équivalent de trois à six mois de dépenses courantes. Si l’on doit soudainement réparer son véhicule ou remplacer son réfrigérateur, on aura déjà de l’argent de côté.
Desjardins Courtage en ligne
La plateforme Disnat est une ressource simple, moderne et facile à utiliser pour négocier par soi-même. Au moyen d’un ordinateur ou d’un appareil mobile, cet outil permet de surveiller l’ensemble de ses investissements d’un seul coup d’œil. Les informations sont mises à jour en temps réel et les transactions peuvent être effectuées pendant les heures d’ouvertures des marchés boursiers.
Plein d’avantages pour les 18 à 30 ans
Pour encourager ses membres et clients à investir tôt, Desjardins propose des avantages exclusifs aux 18 à 30 ans :
- Transactions sans frais sur actions et fonds négociés en bourse (CAD et USD)
- Aucun minimum d’actifs requis
- Aucuns frais d’inactivité ou d’administration
- Aucuns frais d’actifs minimums pour les comptes enregistrés (régime enregistré d’épargne-retraite)
- Remboursement des frais de transfert jusqu’à 150 $
Pourquoi émotions et rendement ne font pas bon ménage
Investir soi-même est un exercice qui procure bon nombre d’avantages, mais nos émotions peuvent parfois nous jouer des tours. Sans intermédiaire, on peut acheter ou vendre instantanément. Or, une décision précipitée et basée sur les sentiments plutôt que sur la raison peut avoir des conséquences négatives sur son portefeuille. Pour se familiariser avec l’investissement et pour acquérir de l’autonomie sur les marchés boursiers, la plateforme offre les formations et outils nécessaires pour vous permettre de prendre des décisions de placements éclairées. Que vous soyez débutant ou maître dans le domaine de l’investissement, il y en a pour tous les niveaux!
Les bonnes informations pour de bonnes décisions
Les boursicoteurs, les influenceurs et « l’ami de son ami qui connaît vraiment ça, la bourse » ne manquent pas de suggestions pour faire un coup d’argent facile et rapide. Est-ce là des sources fiables pour des investisseurs débutants? On propose plutôt de visionner la série vidéo Compte sur moi, qui présente le parcours de l’investisseuse autonome Alicia Rochevrier. Grâce aux bons conseils de professionnels dans le domaine de l’investissement et de la plateforme Disnat, jusqu’où Alicia parviendra-t-elle à faire croître son épargne de 4 000 $? À voir!
Visionner la série vidéo Compte sur moi
Ce qui influence les émotions
Avant de choisir un placement, il faut d’abord connaître son profil d’investisseur. Ça comprend les éléments suivants :
- Son objectif de placement : Veut-on acheter une première maison ou épargner pour la retraite?
- Son horizon de placement : Souhaite-t-on devenir propriétaire dès l’an prochain ou d’ici cinq ans?
- Sa tolérance au risque : Dort-on bien malgré les hauts et les bas des marchés boursiers ou préfère-t-on plus de stabilité?
Quand l’économie traverse une période difficile, un choix d’investissement bien aligné avec la raison pour laquelle on met de l’argent de côté aide à rester calme. On garde le cap sur l’objectif.
Les marchés plongent : que fait-on?
La bourse connaît des hauts et des bas, comme des montagnes russes. Les valeurs fluctuent en fonction de l’offre et de la demande, elles-mêmes influencées par toutes sortes d’événements et par l’actualité.
La logique suggère d’acheter lorsque les prix sont bas, puis de vendre quand ils sont hauts, pour réaliser un profit. Or, les émotions encouragent plutôt l’inverse.
En voyant certains titres monter, des investisseurs s’y intéressent. Ça encourage d’autres hausses de prix et renforce l’impression d’avoir fait une bonne affaire, ce qui peut même mener à réinvestir. Quand un titre plonge, certains cèdent à la panique et vendent, parfois à perte. Ces épargnants qui ont quitté le bateau ne sont plus là pour la relance.
Un creux boursier offre justement l’occasion d’acheter au rabais, donc avec un plus grand potentiel de croissance. Sans pouvoir prédire l’avenir, on peut regarder ce qui s’est produit par le passé. L’Autorité des marchés financiers rapporte que lors des dix dernières périodes de baisse de plus de 20 % de la bourse canadienne, les années de reprise ont connu des rendements moyens de 21 %2.
Impossible de prédire exactement quand les marchés vont descendre ou monter. Pour se protéger de la volatilité, on peut plutôt :
- détenir un portefeuille diversifié, car quand certains secteurs de l’économie ralentissent, d’autres performent mieux;
- épargner par versements périodiques pour réduire le coût moyen de vos investissements en tirant profit des fluctuations temporaires à la baisse du marché.
Survol des possibilités d’investissement
Les placements qu’on peut faire par courtage en ligne sont si nombreux qu’il est facile de s’y perdre. Voici un résumé des placements les plus courants :
- Épargne à terme : Argent déposé auprès d’une institution financière dont le rendement est prédéterminé pour une période donnée.
- Placements garantis liés aux marchés : Le rendement de ces produits fluctue en fonction de la performance d’un indice boursier, jusqu’à un certain maximum, et le capital est garanti.
- Obligations : On prête de l’argent au gouvernement ou à une société en échange d’un revenu fixe. Le rendement est inverse à celui des taux d’intérêt (quand les taux augmentent, les obligations rapportent moins).
- Actions : Détenir une action, c’est devenir propriétaire d’une partie de la société qui l’émet. Sa valeur fluctue selon la croissance de l’entreprise.
- Fonds de placement : L’argent est confié à un gestionnaire de fonds qui l’investit dans différents titres et en surveille l’évolution, au nom du groupe de détenteurs.
- Fonds négociés en bourse (FNB) : Les FNB reproduisent le rendement d’un indice boursier, d’un secteur économique ou d’un autre produit financier. Ils s’échangent comme des actions.
Plus on s’y connaît, mieux on est outillé pour prendre les bonnes décisions à l’abri des émotions. Desjardins organise plus de 250 activités de formation chaque année pour approfondir ses connaissances. Le fil d’actualité Disnat, exclusif aux utilisateurs de l’application, permet de suivre les nouvelles économiques et financières et d’en apprendre un peu plus chaque jour.