Note : Les informations placées entre crochets décrivent le contenu visuel et audio de la vidéo autre que le dialogue ou la narration.

[Texte à l'écran : Desjardins Entreprises]

[Entreprendre la relève agricole.]

[Texte à l'écran : Alain Gagnon, agronome, MBA. Vice-président Marchés agricole et agroalimentaire, Desjardins Entreprises.]

[Plan rapproché d'Alain Gagnon. En arrière-plan, un champ. Puis plans successifs de vaches dans une étable moderne, d'œufs sur un tapis roulant et de bétail dans un champ.]

Alain Gagnon : Desjardins est le plus important groupe financier de nature coopérative au Canada. Aujourd'hui , Desjardins accompagne plus de 14 000 entreprises agricoles et agroalimentaires, soit 1 entreprise agricole sur 2 au Québec.

[Texte à l'écran : Mickaël Roy, propriétaire de la Ferme Micar (9226-8804 Québec inc.).]

[Plan rapproché de Mickaël Roy.]

Mickaël Roy : La production qu'on fait ici à la Ferme Micar, c'est de la semi-finition. ¨ca signifie qu'on commence à la naissance du veau.

[Plans successifs de Mickaël Roy marchant dans un champ et de vaches.]

Mickaël Roy : On l'amène jusqu'au sevrage, à 650 livres, le veau est prêt pour aller dans un parc d'engraissement. [Transition musicale.]

[Texte à l'écran : Isabelle Bastien-Barette, agricultrice, nutritionniste et gestionnaire pour Bœuf Lanaudière (2014) inc.]

[Plan rapproché d'Isabelle Bastien-Barette. En arrière-plan, un parc à bœufs.]

Isabelle Bastien-Barette : En 2013, on avait 2 entreprises déjà : Ferme Domaine du Parc inc., qui était juste les grandes cultures, c'est à Sainte-Élizabeth, puis on avait aussi Ferme JRDL (2014) inc., et ça c'était des bœufs en engraissement.

[Plans successifs d'Isabelle Bastien-Barette dans un parc à bœufs.]

Isabelle Bastien-Barette : Puis, on a eu l'opportunité de louer un autre parc à bœufs, c'était un des amis de mes beaux-parents qui nous a offert ça.

[Plan rapproché d'Isabelle Bastien-Barette.]

Isabelle Bastien-Barette : C'est là que nous nous sommes assis, les 4 gestionnaires ensemble, et que nous avons décidé d'embarquer dans le projet. C'est là que Bœuf Lanaudière (2014) inc. a vu le jour.

[Transition musicale.]

[Plan de Christian Boucher nettoyant le sol de son étable.]

[Texte à l'écran : Christian Boucher, copropriétaire de la Ferme Rejak (9230-1670 Québec inc.]

[Plan rapproché de Christian Boucher devant une maison, puis plans successifs de Christian Boucher travaillant dans son étable.]

[Retour au plan rapproché de Christian Boucher.]

Christian Boucher : Mon grand-père a acheté l'entreprise au début des années 40. C'était une ferme à vocation familiale pour nourrir la famille.

Ensuite mon père l'a rachetée au milieu des années 80, c'était une ferme axée sur la production laitière et porcine. Il a délaissé la production porcine au fil des années pour se spécialiser seulement dans la production laitière. J'en ai fait l'acquisition depuis 2 ou 3 ans, j'en suis propriétaire à 50 % depuis cette époque.

[Plan rapproché d'Alain Gagnon.]

Alain Gagnon: Comme les entrepreneurs agricoles, Desjardins cultive le goût de la réussite et de la continuité des entreprises. Le soutien à la relève agricole fait donc partie intégrante de ses préoccupations.

[Plan rapproché de Mickaël Roy. En arrière-plan, un champ.]

Mickaël Roy : Le transfert a débuté. La Ferme Jean-Hugues Caron avait 4 enfants, sur les 4 enfants, aucun n'était intéressé à reprendre l'entreprise.

[Plans successifs de vaches dans un champ et d'un tracteur, conduit par Mickaël Roy, transportant une meule de foin.]

Mickaël Roy : Alors, j'ai été le candidat idéal. J'ai décidé de monter un plan d'affaires. On s'entendait bien moi et le propriétaire, donc tout s'est déroulé bien comme il le faut.

[Plan de Mickaël Roy avec sa conjointe et leur petite fille. Il accueille sa directrice de comptes chez lui. Ils discutent et consultant des documents assis autour d'une table.] [Texte à l'écran : Manon Bélanger, directrice de comptes, Desjardins Entreprises.]

Mickaël Roy : Je fais affaire avec Desjardins tout simplement parce que Desjardins est proche de nous. Ils sont intégrés dans le milieu. Avec la directrice de comptes, on a de bons liens, elle nous comprend. En comprenant ce qu'on fait, elle est capable de plus nous indiquer ce qui est bon à faire et ce qui n'est pas bon à faire. [Plan rapproché de Mickaël Roy.]

[Transition musicale.]

[Plan d'Isabelle de Bastien-Barette longeant les barrières d'un parc à bœufs couvert, puis plan rapproché.]

Isabelle Bastien-Barette : Mon établissement sur la ferme il s'est fait de la façon suivante. Quand on discutait, les 5 gestionnaires réunis, si nous embarquions ou non dans le projet, mes beaux-parents m'ont suggéré et m'ont proposé de faire partie de cette entrepris. D'avoir des parts dans l'entreprise, puis de m'établir.

[Plan successifs d'isabelle Bastien-Barette parlant avec un employé au volant d'un camion, et dans le parc à bœufs avec sa directrice de comptes.]

[Texte à l'écran : Mélanie Masse, directrice de comptes Desjardins Entreprises.]

Isabelle Bastien-Barette : J'étais toute emballée par ça, j'étais contente qu'ils me fassent confiance même si je n'avais pas étudié là-dedans, mais je crois qu'ils voyaient en moi une gestionnaire.

[Plan d'Isabelle Bastien-Barette discutant avec sa directrice de comptes autour d'une table.]

Isabelle Bastien-Barette : Faire affaire avec Desjardins, ça remonte à très longtemps. Ils sont très compétitifs dans leur domaine et on s'entend très bien avec le personnel. Donc on aime ça, être avec Desjardins!

[Plan rapproché d'Isabelle Bastien-Barette.]

[Plan rapproché de Christian Bouche. En arrière-plan, sa maison.]

Christian Boucher : Selon moi, pour reprendre l'entreprise agricole, ça prend une bonne formation, beaucoup de leadership, de la communication. Il faut être bien entouré par notre famille, notre conjointe et nos amis.

Christian Boucher : Et ça prend beaucoup de dévouement, beaucoup de travail pour réussir nos projets. Mon directeur de comptes m'a soutenu dans le développement de mon entreprise lors du transfert de ferme. Il a été présent à chacune des étapes pour nous aider à avoir un très bon transfert. Ensuite, il a été présent dans le développement et l'agrandissement de mon projet de vacherie. Il nous a aidés à faire le montage financier et nous a aidés à prendre les bonnes orientations.

[Plan de Christian Boucher discutant avec son directeur de comptes.]

Christian Boucher : L'une des principales raisons laquelle je fais affaire avec Desjardins, c'est mon lien avec le directeur de comptes. Toujours disponible, toujours à l'écoute, toujours là pour nous aider à réaliser nos projets et à faire avancer notre entreprise.

[Plan rapproché de Christian Boucher. En arrière-plan, sa maison.]

Christian Boucher : Une autre raison pour laquelle je fais affaire avec Desjardins, c'est le transfert de connaissances. Mon directeur de comptes a pris sa retraite dernièrement, après plusieurs années de service chez Desjardins, il a été remplacé par un nouveau directeur de comptes qui connaît très bien mon dossier et qui assure très bien la relève.

[Texte à l'écran : Olivier Blais, directeur de comptes, Desjardins Entreprises. Jacques Lirette, directeur de comptes, Desjardins Entreprises.]

[Plan de Christian Boucher discutant avec Olivier Blais et Jacques Lirette.]

[Plan rapproché d'Alain Gagnon. En arrière-plan, un champ.]

Alain Gagnon: Desjardins est le leader du financement agricole au Québec.

[Plans successifs d'Isabelle Bastien-Barette montrant son parc à bœufs à sa directrice de comptes, de Mickaël Roy serrant la main de sa directrice de comptes, et de Christian Boucher sur son exploitation avec 2 directeurs de comptes.]

Alain Gagnon : Desjardins est le prêteur de premier choix dans le secteur agroalimentaire et le partenaire privilégié de tous les entrepreneurs de la filière agroalimentaire.

[Musique.]

[Texte à l'écran : Desjardins Entreprises]

[Coopérer pour créer l'avenir]

[www.desjardins.com/transfertagricole.]