Note : Les informations placées entre crochets décrivent le contenu visuel et audio de la vidéo autre que le dialogue ou la narration.
[Texte à l'écran : Ensemble, on réalise des événements qui comptent pour les collectivités]
[Musique d'ambiance.]
[Vue des lumières du plafond d'un aréna et d'estrades vides. Yves Dubois s'adresse à la caméra.]
[Texte à l'écran : Yves Dubois Président Tournoi novice Desjardins de Victoriaville]
Yves Dubois : Je m'appelle Yves Dubois, je suis originaire de Victoriaville et je suis président du Tournoi novice Desjardins de Victoriaville.
[Vue de dos d'un enfant et d'un adolescent dans les estrades en train de regarder une partie. Dans un vestiaire, Yves sort des patins d'un sac. Vue de jeunes joueurs sur la glace aux couleurs des Tigres de Victoriaville. Vue de voitures circulant dans
la ville, sur une rue avec l'inscription « restaurant », et vue panoramique de la ville en automne. Assis dans les estrades, Yves s'adresse à la caméra.]
Yves Dubois : Les gens adorent le hockey à Victoriaville. Pour nous, chez les, chez les Dubois, c'est une religion. Les jeunes qui jouent au hockey, ça leur permet justement de s'épanouir dans un milieu qui est quand même
bien encadré. L'impact du tournoi, c'est que pendant deux week-ends, les hôtels sont remplis; les restaurants, il y a du monde. Peu importe de quelle sorte de retombées qu'on parle, elles sont importantes.
[Vue de l'insigne « Colisée Desjardins ». À l'intérieur, vue des lumières de but et de la patinoire occupée par des jeunes à l'entraînement. Vue d'Yves dans les couloirs en train de bavarder
avec des parents d'enfants.]
Yves Dubois : Présentement, on est au Colisée Desjardins où une bonne partie du tournoi se déroule. Ça fait plus de 10 ans que Desjardins est partenaire. Ils sont toujours proches de moi. Ils sont là aussi
pour nous aider, nous supporter, puis on les voit toujours, ils sont présents lors des finales.
[Assis dans les estrades, Yves s'adresse à la caméra.]
Yves Dubois : Si Desjardins n'était pas partenaire du Tournoi novice, ça mettrait en péril l'organisation même.
[Vue de l'inscription « Amphithéâtre Gilbert-Perreault ». À l'intérieur, vue des jeunes à l'entraînement.]
Yves Dubois : Souvent, les organisations de hockey doivent payer un montant pour inscrire leur équipe puis, dans bien des tournois, on est obligés de redonner un 5 dollars, ou un 10 dollars, ou un 20 dollars pour voir notre enfant la fin
de semaine.
[Vue de parents et d'enfants assis dans les estrades et devant les vitres de protection, en train de regarder les jeunes joueurs sur la glace. Assis dans les estrades, Yves s'adresse à la caméra.]
Yves Dubois : Donc, des fois, c'est plus difficile d'inviter l'oncle, la tante, le grand-père, la mamie, le papy. Donc, avec le tournoi ici, ça a toujours été une particularité : on n'a pas de frais à
l'entrée. Donc, les gens sont les bienvenus pour voir les jeunes s'amuser.
[Vue des jeunes joueurs sur la glace en train de s'entraîner. Vue d'un joueur patinant sur le logo Desjardins dessiné sur la glace. Vue de joueurs des Tigres qui posent devant la caméra sur la patinoire.]
Yves Dubois : Puis, cette dimension-là, je pense qu'elle est très appréciée, c'est une des renommées du tournoi ici. Tant qu'on va avoir des partenaires importants, on va réussir à continuer à
offrir cet environnement-là, ce cadre-là aux jeunes.
[Texte à l'écran : Être membre, c'est contribuer à changer les choses. Merci.]
[Image à l'écran : logo Desjardins. Coopérer pour créer l'avenir]
FIN DE LA TRANSCRIPTION TEXTUELLE
